2004-2005

LE CORPS COMME une diffusion, une forme effilochée, un volume incernable au contour imprécis.
Le décloisonnement du monde en donne une nouvelle lecture, il sollicite par les turbulences une vision trouble. À la juxtaposition d’univers cernables succède l’appréhension globale proche d’une perception nébuleuse que j’ai voulu représenter par des corps au contour indéfini.